Le Godienkisme

Orientation politique : Godienkisme, Merksisme-Luninisme, Nationalisme de gauche.
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Svetlana Sokolova
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Le Godienkisme

Message par Svetlana Sokolova »

Le Godienkisme est un courant de pensée issu du Merksisme-Luninisme, fondé sur les idées Konstantin Godienko et de Maksim Podogradov. Le Godienkisme est une idéologie propre au Kolozistan, et ne se trouve nulle par ailleurs dans le Micromonde. C'est l'idéologie officielle du Parti Merksiste du Kolozistan depuis Février 2017.

Le Godienkisme a été exposé et adopté comme doctrine par le Parti lors du Ier Congrès, le 24 janvier 2017.
Conscient que :
Le Merksisme-Luninisme a été et se doit d'être encore l'arme du prolétariat pour sa libération,
Le Merksisme-Luninisme à ouvert la voie à deux révolutions importantes de notre MicroMonde,
Le Merksisme-Luninisme est l'idéologie de tout les exploités, travailleurs/travailleuses du monde entier,

Le Bureau Politique du PMLK après discussion, souhaite avant tout :
Donner un nouveau souffle idéologique et politique au Merksisme-Luninisme,
Démontrer que le Merksisme-Luninisme doit être une idéologie vivante, une pensée synthétique de compréhension du monde,
Renforcer avec les armes de la critique, les prolétaires du monde entier dans leur libération,
S'appuyer sur l'œuvre des théoriciens communistes Kolozistanais comme Aleksandr Twitorski, Igor Pralochev et surtout Konstantin Godienko pour permettre au merksisme-luninisme d'atteindre une étape supérieure,
Permettre donc en quelques points, de commencer un travail d'approfondissement et d'étude du merksisme-luninisme à la lumière nationale, baptisé "Godienkisme"

Discussions sur la nécessité du renouvellement idéologique du PMLK

1. Le rejet de toute forme de monnaie, de tout échange marchand basé sur cet étalon, ne fera que désorganiser grandement les économies nationales des pays adoptant un système socialiste. La monnaie dans un système socialiste, ne fait que représenter un équivalent général dans l'ensemble de la société. Tant qu'existe le rapport marchand, la monnaie existera. Dans une économie planifiée, la monnaie sert la production et la répartition du fruit du travail.

2. L'instauration d'une économie planifiée et socialiste requiert à la fois la mobilisation de l'appareil d'État, mais également des travailleurs et des travailleuses : Dans chaque entreprise et lieu de travail, un cadre venant de l'appareil d'État et un cadre élu par des comités ouvriers doivent permettre une gestion harmonieuse qui lie les masses aux tâches de production mais également de direction de l'économie.

3. Dans le domaine agricole, l'intervention de l'État doit avant tout veiller à redistribuer les terres, permettre l'élévation du niveau de vie, organiser les paysans/agriculteurs sous forme de coopératives et de communes agricoles. La recherche de l'auto-suffisance alimentaire est une priorité absolue. La collectivisation des terres ne peut être effectués que sous l'entière approbation des paysans et ne doit pas se transformer en chasse aux sorcières. La lutte contre les éléments bourgeois à la campagne, ne doivent pas faire basculer les petits paysans dans leurs bras en les effrayant.

4. L'ensemble des biens collectifs, l'accès aux services sociaux, aux secteurs publics vitaux doivent être gratuits pour l'ensemble de la population. Il en est de même pour l'éducation, l'accès aux lieux de cultures et de loisirs. Dans sa tâche d'édification d'une société nouvelle, l'élévation du bien-être physique et culturel du prolétariat est un des objectifs majeur.

5. Dans la phase de transition de la société socialiste, les écarts entre travailleurs intellectuels et manuels restent flagrant. Les écarts de richesses également, c'est pourquoi la planification économique et la fin de l'anarchie dans la production permettra de réduire les écarts de salaires, mais également de réduire l'écart entre tâches d'exécutions et tâches de productions. Les primes au rendement, les incitations à produire davantage ne doivent pas être systématiquement économique, mais avant tout politique. Sinon, la création de "couches de travailleurs aisés" réintroduirait une lutte au sein même du prolétariat.

6. Outre le travail pour tous et toutes, les tâches de gestions collectives, la diminution progressive des heures de travail, la démocratie dans les lieux de productions et l'augmentation du niveau de vie, rendront le travail productif de plus en plus obsolète. De ce fait, une part importante de travailleurs seront au chômage, sans possibilité de retour à un travail. Le travail n'étant pas un but ultime dans la vie humaine, la possibilité doit être trouvée pour qu'un salaire universel puisse être versé dès la majorité à l'ensemble de la population.

7. Dans les tâches visant à bâtir une économie/société socialiste et atteindre l'indépendance nationale, tout les efforts doivent être mis en œuvre pour que l'économie serve avant tout les intérêts du peuple. Dans le cadre de la concurrence mondiale, le commerce extérieur ne doit jouer qu'un rôle secondaire et ne doit pas faire basculer le pays sous des importations le rendant dépendant et donc, brisant son indépendance nationale en matière économique, puis politique.

8. Le Parti doit être avant-tout le lieu de rencontres des éléments d'avant-garde du prolétariat en lutte. En formant son avant-garde, il prend en charge le dur et long combat à mener pour le socialisme, pour l'édification d'une société nouvelle. Dans ce combat, les risques de voir la routine ou le bureaucratisme s'installer, seront énorme. Les tâches du Parti, de ses cadres et de ses organes est par tout les moyens de s'appuyer sur le peuple, sur les masses pour qu'elles s'émancipent. Les mobilisations populaires ne doivent pas effrayés, elles doivent au contraire renforcer le lien entre le Parti et les masses.

Dans son combat idéologique et politique, dans sa volonté de transformer le monde et d'instaurer un ordre politique, social et économique juste et humain, les merksistes-luninistes ne doivent pas tomber dans les multiples dérives de notre temps, qu'elles soient parlementaristes, réformistes ou légalistes. Le Prolétarisme, en tentant de se dissocier du merksisme-luninisme au lieu de l'enrichir, se trouve être une théorie révisionniste de droite, sous couvert de slogans libertaires et gauchistes. Renforcer l'unité des merksistes-luninistes, c'est combattre les théories qui visent à anéantir toute perspectives révolutionnaires claires, toute interprétation du monde solidement ancrée dans le pensée de Heidy Merks. Voilà pourquoi nous, merksistes-luninistes du Kolozistan, plaidons pour une refonte et prolongation des idéaux révolutionnaires merksistes-luninistes, sans en dénaturer les propos ou la volonté propre.

Vive les idéeaux immortels du Merksisme-Luninisme-Godienkisme !
Vive la lutte internationale !
Vive la révolution socialiste !
Secrétaire Générale du Parti Godienkiste de Biéloslavie

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Récipiendaire de l'Ordre d'Ivan
Ecuyère de de l'Ordre Impérial de l'Aigle d'Argent (Edoran)
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